dimanche 28 septembre 2008

Enfin un temps exceptionnel

Eh oui...

Enfin un temps exceptionnel ! Et qui plus est, ce qui est encore plus rare, de samedi matin à dimanche soir.

Voyez plutôt : hier, grand beau, nous allons à la plage. Dommage, un petit vent d'est ne permet pas l'usage du maillot de bain. Mais c'est quand même le grand bleu :


Aujourd'hui, encore plus beau si c'est possible. Nous allons vers la pointe ouest, ce qui nous a peut-être mis à l'abri du vent. Mais il y en avait moins qu'hier. Encor grand bleu, idéal pour faire des photos... La mer est lisse, turquoise, transparente. Seul défaut, le temps est brumeux, on ne voit même pas l'île d'Aurigny, qui est pourtant à à peine 10 km de là où nous sommes. Bon, cela fait mentir le dicton, qui dit que "Quand on voit les îles, c'est qu'il va pleuvoir, quand on ne les voit pas, c'est qu'il pleut déjà" ! Eh bien on ne les voit pas et il ne pleut pas. Na ! Voilà ce que ça donne :


Et pour finir, un petit diaporama avec la promenade d'aujourd'hui :

dimanche 21 septembre 2008

Isséo

Ca, j'ai oublié d'en parler.
Mi-Août, nous sommes allés au spectacle au manoir du Tourp, car à cette période de l'année, il y a depuis quelques années un festival d'arts de rue.

Un samedi très gris, nous y sommes donc allés vers 17h, pour assister à un spectacle qui me paraissait intéressant et destiné aussi bien à nous qu'aux filles.

J'ai eu bien raison ! 45 mn de spectacle, où deux artistes issus du monde du cirque racontent, sans paroles, une histoire tendre et drôle, le tout entre jonglerie et acrobaties autour d'un mât et d'un ruban. Tout le public est resté sous le charme et sous le choc... Il est rare de voir des numéros de cette qualité. Voici une photo prise sur le vif :



Il y en a d'autres sur la page web de la compagnie du mirador

Bien beau week-end

Voici un bien beau week-end qui s'achève...
Beau temps, 19° à l'ombre (donc un peu plus au soleil malgré le vent d'est).

Nous en avons profité. Hier, nous sommes allés faire un petit tour culturel, avec la visite des souterrains de la montagne du Roule (créés il y a cent ans environ pour servir de dépôt de torpilles) et la résidence du préfet maritime.

J'avais oublié l'appareil photo... Dommage ! Voici donc, empruntée, une photo de l'accès aux souterrains, qui se fait depuis l'avenue de Paris, donc en pleine ville, au pied de la montagne du Roule. Pour ceux qui ne connaissent pas Cherbourg, montagne est un bien grand mot... 120 mètres à tout casser !
Quant aux souterrains, cet ensemble comporte une grande allée centrale dans laquelle pouvaient se croiser plusieurs trains et 9 nefs dans lesquelles étaient entreposées les torpilles... Par la suite, la marine a installé dans ces souterrains un poste de commandement.


Ensuite, nous avons retraversé Cherbourg, direction la résidence du préfet maritime. Pas de photos, de toutes façons elles sont interdites. Dommage, c'est une demeure superbe, avec quelques pièces de mobilier exceptionnelles, dont j'avais entendu parler par Papy et Mamy Toulon, qui y sont allés dîner plus d'une fois, à l'époque où ils habitaient ici.

Si samedi fut plutôt marqué patrimoine, cet après-midi, nous sommes allés aux mûres ! Les confitures sont faites.

mercredi 3 septembre 2008

Signature originale...

Depuis quelque temps, je dis à Marie qu'il faut qu'elle signe ses dessins... pour qu'on sache que c'est elle qui les a faits.

Voici ce que j'ai trouvé en début de semaine en bas d'un coloriage de Cendrillon... Regardez : d'accord, il manque le E de MariE, mais pour le reste, vous ne trouvez pas qu'il est mignon, ce petit carrosse ?

Travaux, travaux et encore... travaux

Ca me rappelle une chanson, qui disait "Marre de cette nana..."

C'est pas de la nana, mais des travaux... Six mois en travaux, y en a marre !

Mi-mai, c'est le couvreur. Il refait le pan de toiture sur la rue, échafaudage pendant près d'un mois. Nous, on en a profité pour repeindre la maison, comme vous avez pu le voir ici... Ca aurait pu s'arrêter là, sauf que... le moins qu'on puisse dire c'est qu'ils n'ont pas eu très beau temps. Est-ce la fatalité ? Toujours est-il qu'un soir, les ouvriers ont mal étanché leurs travaux, qu'ils pensaient continuer le lendemain. Mais voilà, le lendemain, il peut à seaux ! C'est le bon terme, d'ailleurs, car la maison prend l'eau et Guy passe la journée à éponger et à mettre des seaux partout !

Du coup, nous voilà partis pour peinture et papiers peints...

Juin, la cuisine est sensée arriver après les vacances, il faut préparer le terrain. Nous changeaons la porte qui donne sur la véranda, poussière, souk, etc.

Août, on descend la cuisine et le placard qui va avec. Poussière, souk, toute la vaisselle par terre dans des cartons ou tiroirs... Sauf que la cuisine promise n'arrive pas ! "Ah mais non, vous êtes prévus fin septembre... ! ? !" Et comment je fais, moi alors ? "Si vous voulez, on peut vous mettre une cuisine de dépannage..."

Ah, tenez, la voilà, ma cuisine de dépannage...


Début de semaine, voici les peintres... Le seul problème, c'est qu'ils attaquent la maison par les deux bouts ! Une partie de l'effectif en haut, chez les filles, une partie en bas dans le salon... On ne peut plus bouger nulle part, les filles ne peuvent plus coucher dans leur chambre, à peine s'il est possible de regarder la télé dans le salon ! J'espère qu'ils n'en ont pas pour longtemps.

Fin du mois, la cuisine... enfin, normalement. Là, on en a pour un mois environ... Deux semaines pour poser la cuisine, puis deux à trois semaines d'attente, le temps de pratiquer les découpes dans le plan de travail (en pierre, ceci expliquant cela)

Allez, il suffirait, pour couronner le tout, que le maçon téléphone demain pour dire qu'il vient refaire la façade arrière la semaine prochaine !